L’essor du digital a ouvert la voie à de nombreux nouveaux métiers. La profession de growth hacker en fait partie. Dans un monde où la concurrence en ligne est rude, les entreprises cherchent, en effet, des moyens innovants pour maximiser leur croissance. Et c’est justement ce professionnel qui peut les y aider. Cette page vous explique le travail d’un growth hacker et la formation qu’il a suivie.
Le rôle et les missions d’un growth hacker
L’objectif d’un growth hacker est de maximiser l’activité de son entreprise, en appliquant notamment des techniques de hacking. Les responsabilités de ce professionnel sont très nombreuses.
Il a la charge d’acquérir de nouveaux utilisateurs et de pérenniser le trafic de son entreprise et sa réputation. Pour réussir sa mission :
- Il analyse les données clients et détermine les leviers les plus intéressants.
- Il élabore ensuite une stratégie d’acquisition qui prend en compte le comportement des utilisateurs.
- Un growth hacker met en place des actions ciblées automatisées.
- Il crée du contenu engageant toujours dans le but d’augmenter le trafic Web et le taux de conversion sur le site.
- Pour terminer, il recherche à fidéliser les clients en leur offrant, par exemple, une excellente expérience utilisateur.
Le salaire d’un growth hacker
Le salaire d’un growth hacker junior est d’environ entre 35 000 à 45 000 € brut par an. Mais avec de l’expertise, il peut intégrer les entreprises de renommée internationale et bénéficier d’une rémunération beaucoup plus importante.
Les qualités pour devenir growth hacker
Pour booster la croissance d’une entreprise, ce professionnel élabore des solutions innovantes et fait appel à sa créativité. Son esprit analytique l’aide à traiter et interpréter de façon sûre chacune des données qu’il a en sa possession.
En parallèle, il ne faut pas oublier que ce professionnel travaille sous pression. Alors, il est important qu’il sache gérer son stress.
Les compétences d’un growth hacker
En plus de ses qualités innées, un growth hacker est doté de compétences techniques et stratégiques de pointe. Son expertise repose d’ailleurs sur plusieurs domaines clés.
Les techniques webmarketing
Le SEO, le SEA, et bien d’autres techniques du marketing digital n’ont aucun secret pour lui. Il connaît également les logiciels et plateformes d’analyse de données, comme Google analytics, Data studio, etc.
Ses outils l’aident au quotidien pour :
- Booster la visibilité du site ;
- Générer du trafic et convertir ses prospects en clients.
Les stratégies pour optimiser le taux de conversion
Un growth hacker dispose de toutes les stratégies pour optimiser ses actions. Il réalise, par exemple, des tests UI pour améliorer l’expérience utilisateur. Il fait en sorte que le parcours utilisateur soit le plus personnalisé possible. Grâce à ces stratégies, il identifie aussi facilement un blocage et le résout rapidement.
Les outils d’automatisation
Dans sa boîte à outils, ce professionnel a toutes les clés pour automatiser ses actions. Non seulement il arrive à gagner du temps, mais l’automatisation l’aide à maximiser ses résultats.
Le copywriting
Un growth hacker a appris à rédiger du contenu impactant. Et il utilise cet art au quotidien pour concevoir une campagne d’emailing, un post sur les réseaux sociaux ou encore une landing page.
La formation pour être growth hacker
L’ISEFAC est une école de commerce et de digital réputée à Paris, Lille, Nantes, Lyon, Bordeaux et Aix-en-Provence. Elle vous offre des formations en marketing, numérique et analyse de données parfaites pour devenir growth hacker.
Le BTS NDRC
Ce BTS NDRC vous initie en 2 ans à la digitalisation de la relation client. Il vous permet également d’acquérir des compétences en :
- Vente ;
- Négociation ;
- Webmarketing ;
- Communication digitale.
Avec lui, vous avez les bases :
- Du marketing d’automatisation ;
- Des stratégies de conversion ;
- Du SEO ;
- De la gestion de contenu web.
Mais ces 2 ans ne suffisent pas pour devenir growth hacker. Vous devrez poursuivre vos études en bachelor.
3 poursuites d’études en bachelor
L’ISEFAC vous offre 3 bachelors pour en apprendre plus et obtenir un poste de growth hacker. Ils vous donnent un niveau bac + 3.
Le bachelor communication digitale influence et réseaux sociaux vous aide à devenir un as dans cette spécialité. Vous vous immergez dans :
- La conception de stratégies ;
- Le marketing d’influence ;
- La gestion de communication en ligne.
Vous préférez avoir une vision commerciale et stratégique d’une organisation ? Le bachelor business developement est conçu pour cela.
Quant au bachelor chef de produit marketing, il vous plonge dans le cycle complet d’un produit. Vous étudiez notamment les stratégies marketing, la gestion de projet ou encore l’analyse du marché.
Les MBA en marketing ou communication
À l’ISEFAC, nous formons des experts de la communication d’entreprise ou du marketing numérique. En suivant un MBA, vous vous préparez à prendre une fonction à responsabilité.
Le MBA marketing et communication digitale est un atout pour exercer en tant que growth hacker. Il développe, en effet, une expertise majeure dans le marketing numérique, le SEO, le SEA ou encore l’analyse de données hacker.
Quant au MBA en stratégie de communication, il reste un excellent tremplin pour connaître les mécanismes de :
- La communication d’influence ;
- Des relations publiques
- La gestion de crise ;
- Etc.
Il est donc parfait pour exercer la profession de growth hacker.
Et après growth hacker ?
Un growth hacker possède une expertise unique. C’est pourquoi, après avoir été exercé quelque temps ce métier, vous aurez le choix entre de nombreux postes à responsabilité, comme celui :
- Responsable marketing digital ;
- Manager de projet web ;
- Etc.
Vous pouvez également vous investir dans le consulting de stratégie digitale auprès de diverses entreprises.
De nombreuses start-ups sont à la recherche de leur futur growth hacker. Et si c’était vous qu’il recherchait ? Formez-vous vite à ce métier en pleine expansion dans notre institut et rejoignez une carrière semée de challenges, mais très enrichissante.